IVG : Ronfle ses droits !
L’interruption volontaire de grossesse (IVG) est un droit fondamental des femmes. Il doit être garanti à toutes, sans condition, et dans des conditions de sécurité maximale.
Pourtant, en France, de nombreux obstacles limitent l’accès à l’IVG. Ces obstacles sont inacceptables et doivent être levés.
L’un des principaux obstacles à l’IVG est la clause de conscience des médecins. Cette clause permet aux médecins de refuser de pratiquer une IVG, même si la femme en fait la demande. Cela peut conduire à des situations dramatiques pour les femmes, qui se voient contraintes de retarder leur IVG, voire d’y renoncer.
La clause de conscience est une atteinte grave aux droits des femmes. Elle est contraire à l’article 16 du Code civil, qui dispose que « toute personne a droit au respect de son corps ». Elle est également contraire à la Convention européenne des droits de l’homme, qui garantit le droit à la vie et à la santé.
Le gouvernement doit abroger la clause de conscience des médecins et garantir l’accès à l’IVG sans condition. Il doit également mettre en place des mesures pour lutter contre le refus de soins liés à l’IVG.
Un autre obstacle majeur à l’IVG est le délai de réflexion. Ce délai de réflexion de 72 heures entre la demande d’IVG et l’intervention proprement dite est inutile et dangereux. Il peut conduire à des retards dans la prise en charge des femmes et à des complications médicales.
Le gouvernement doit supprimer le délai de réflexion de 72 heures. Les femmes doivent pouvoir accéder à l’IVG sans délai, dans des conditions de sécurité maximale.
Enfin, le gouvernement doit lutter contre les discours anti-IVG. Ces discours sont véhiculés par des groupes extrémistes qui cherchent à criminaliser l’IVG et à porter atteinte aux droits des femmes.
Le gouvernement doit condamner fermement les discours anti-IVG et prendre des mesures pour les contrer. Il doit également promouvoir l’éducation sexuelle et la contraception, afin de réduire le nombre d’IVG.
L’IVG est un droit fondamental des femmes. Il doit être garanti à toutes, sans condition, et dans des conditions de sécurité maximale. Le gouvernement doit prendre toutes les mesures nécessaires pour lever les obstacles à l’IVG et garantir l’accès à ce droit pour toutes les femmes.